Le Mans Pop Festival 2021

JOOLSy

Joolsy

Nouvel album « Interstellar Troubadour »

sortie le 10 mars 2023 (Mycelium Musique x Inouïe distribution)

« Joolsy déroule son odyssée cosmique à grand coups de riffs de guitare, de nappe piano psyché-pop rythmés par une batterie délicieusement seventies. De la chanson rock interstellaire qui aurait pu accompagner le Major Tom dans le Space oddity de David Bowie » Franco-Fans.

“Allo le ciel ? Ici en bas il y a des choses qu’on ne contrôle pas…”

“Interstellar Troubadour” est le nouvel album de Joolsy à paraître le 10 mars 2023. Un album où il prouve son aisance à créer des passerelles entre la chanson française et le songwriting d’outre- manche qu’il admire et défend depuis ses débuts. A la façon d’un Petit Prince échoué sur la planète Terre, sa musique nous invite à lever la tête vers le ciel pour y puiser la respiration dont nous avons tous besoin. De sa voix douce et puissante à la fois, il n’a de cesse de questionner la place de l’homme dans son environnement. Joolsy est un artiste qui a les pieds sur terre mais les yeux dans les étoiles.

Après une expérience de 5 ans en groupe avec Hopsy, Julien dit Joolsy, part aux Etats-Unis pour un roadtrip formateur. En 2016, un premier album solo remarqué, « Bloom on the moon”, lui permet de multiplier les premières parties et les festivals prestigieux (Morcheeba, Solidays…).

Ce disque lui permet d’aborder déjà les thèmes qui lui sont chers : il y raconte l’histoire d’une fleur qui veut pousser dans une terre hostile. En 2020, Julien quitte la capitale pour s’installer à la campagne – dans la lignée des grandes mutations de notre époque. Ce rattachement à la nature l’invite à changer de cap dans sa musique. C’est en partant s’isoler en Normandie pour observer les étoiles que Joolsy compose de nouveaux titres au piano et s’essaie à l’écriture en français. Ce voyage intérieur donne naissance à onze titres, constellés d’humour et de poésie, où il interroge la place de l’humain dans l’univers. Six titres en français, cinq en anglais.

La track-list d’ »Interstellar Troubadour » en est la preuve : Joolsy puise abondamment dans le champ lexical de l’astronomie. Il y est question d’astéroïdes, de système solaire, du ciel et de la lumière, d’un “pique-nique cosmique” et de cosmonautes en quête de sens. Mais il n’est pas nécessaire d’être un expert en conquête spatiale pour s’y retrouver. Pour Joolsy, “parler d’astronomie et des étoiles est une façon de parler de ma propre profondeur.” C’est tout simplement sa façon, très personnelle, de nous inviter à explorer l’espace qui est le nôtre, notre espace mental, et d’en découvrir de nouvelles limites. Il aborde dans ses chansons des sujets sensibles et graves qui nous concernent tous : l’écologie (“La toupie bleue », “Le cosmonaute des faubourgs”, “Le Grand pique-nique cosmique”), l’absence de lien social avec “Système solitude”. Mais aussi la spiritualité (“Dans l’inconnu”) et la mort (“When the lights go out”).

Enregistré à Durango Studio avec le réalisateur Romain Clisson ( Gaël Faye, Peter Von Poehl, Gaspard Royant, Hey Hey My My, Cocoon,…), « Interstellar Troubadour » est un album intemporel aux sonorités chaudes. Un disque brut, sans fioritures ni effets électroniques inutiles, où le piano est mis à l’honneur. L’énergie est prédominante, soutenue par une batterie vintage des années 70. Un disque qui ressemble à Joolsy, rêveur mais terriblement ancré dans notre quotidien. C’est dans un petit coin d’Eure-et-Loir, paisible et verdoyant, qu’il veut continuer à regarder inlassablement les étoiles et à composer.

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