Le Mans Pop Festival 2021

Cléo Azzo

Cléo Azzo

Vidéaste de métier, Cléo Azzo s’embarque en 2016 sur un projet de documentaire à bord de 5 voiliers, capturant l’aventure de 30 marins et artistes de divers horizons et disciplines, qui organiseront une trentaine de festivals sur 15 mois.

Au cours de ce voyage, elle prend part à de nombreuses créations collectives, explorant la danse contemporaine, le théâtre et la musique.

Cette première approche de la création In-Situ et du plateau lui donne le goût de la scène et l’envie d’y revenir.

C’est donc à Lyon qu’elle pose ses valises en 2018, avec la ferme intention de continuer la musique.

Elle entre donc à l’École Nationale de Musique de Villeurbanne (ENM), où elle se forme entre autres aux techniques de chant, à l’écriture et à la composition de 2018 à 2023.

En 2020, elle crée un premier set « Hypnos » et reprend la mer pendant 4 mois avec plus de 15 artistes et trois voiliers, pour le jouer une dizaine de fois dans plusieurs ports de la région bretonne.

De retour à terre en 2021, elle travaille sur un nouveau projet, «Mare Sonora», concert intimiste mêlant chansons, textes et sons documentaires qui nous conte l’histoire vécue d’une navigation sur l’océan.

Sélectionnée par le dispositif «RésÔnances 2022-2023» par le Totem Live de Rillieux-La-Pape, ainsi que dans le dispositif 2023 de «La Colo» du collectif Les Canutes de Lyon, Cléo Azzo se fait une place dans le milieu musical Rhônalpin, tout en continuant de développer sa musique dans d’autres domaines tels que le spectacle vivant avec la Cie Pauline à la Plage et la musique à l’image, avec la composition de la BO de documentaires.

Un premier EP composé de 6 titres sortira à l’automne 2024, accompagné de plusieurs singles clipés et une tournée de promotion, notamment avec la première partie d’Alexis HK au festival Le Chant des Sucs en octobre prochain.

« Avec sa voix, ses textes, ses interviews et sons captés d’ailleurs, Cléo nous raconte l’histoire d’un voyage sur les mers, d’amours à terre, de foules amoureuses, de mers houleuses et de moules amères. Elle parle, avec ses mots et ceux des autres, des eaux troubles loin des côtes, décors sombres et reflets bleus, des vagues, des noeuds, du claquement des voiles, des bouts qu’on tire et de toutes ces choses qui nous font encore et toujours, repartir.»

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