Phanee de Pool
Phanee de Pool
PHANEE DE POOL – Talent insolent, présence immédiate. Chanson couleurs pop invention. Ses textes parlent d’amour, de précarité ou d’algorithmes qui dirigent nos vies.
Avec son 3e album et le Trophée Georges Brassens, le nom de Phanee de Pool circule à Paris, Avignon et partout en France. Ses textes audacieux et son style percutant ont enflammé des centaines de scènes d’Europe et d’Asie comme les plus grandes de Suisse dont elle est originaire. Artiste inclassable, les coups de cœur de l’Académie Charles Cros ou du Prix Moustaki ont entériné sa différence dès les premiers albums, Hologramme en 2017, Amstram en 2020. Ce troisième, AlgorYthme, lui vaut cette fois le Grand Prix du Jury du Trophée Georges Brassens.
En scène avec sa guitare, deux micros et trois claviers, elle décloisonne les genres, pétrit les mots comme un rubik’s cube et expédie sa fougue langagière à coups de pieds dans ses loopers. Et puis ça danse, ça gesticule, ça saute dans la salle, ça secoue les gens. Le spectacle explose d’énergie contagieuse et déclenche les éclats de rire.
ALGORYTHME confronte l’artiste libre et déjantée à la perversité de l’intelligence artificielle. Un œil impitoyable s’immisce dans son intimité et la défie tout au long du spectacle. En slaps et chansons, Phanee raconte la vie et les travers humains, la marginalité, la drogue ou la liberté bafouée mais aussi l’amour et nos rêves d’enfants.
La chanteuse-comédienne alterne gravité, autodérision et clownerie dans un one-woman show inclassable, mêlant musique, slap et théâtre. C’est rutilant d’intelligence, savoureux de poésie… Phénoménal, ajoute la critique.