NYNA LOREN
Nyna Loren
« D’une voix intense et envoutée, elle a la prestance de celles que l’on aurait jadis appelées sorcières : Nyna Loren est libre. Aussi bien solaire que polaire, le mélange de ses influences et de ses émotions lui appartient. Violoniste chamanique, elle transpose sa musique dans un songe ou les frontières n’existent plus. Les genres ne sont plus une limite, et seules les émotions priment. Son prochain album est à la fois un murmure et un cri, une urgence douce que l’on murmure à l’âme pour faire hurler le cœur. » Festival Voix de Fête 2023
« Nyna Loren vous colle des frissons du bas du dos, jusqu’à la nuque. Une voix sensuelle et puissante. Une vraie découverte. »
Le Cargo! Webzine musical
« un voyage qui permet d’atteindre l’émotion la plus intime »
« (…) sa voix s’élève dans des accents qui rappellent parfois Carmen
Maria Vega, Emilie Loizeau ou Sophie Hunger. » L’internaute, Jean-Paul Gavard-Perret
« Son chant évoque feu Lhassa de Sela. »
« (…) Extrême finesse des vocalises, (…) violon qu’elle manie en virtuose. » La tribune de Genève, Fabrice Gottraux
« Un répertoire musical envoutant… » Le Nord Côtier, Québec, Eric Martin
« Avec un spectre musical large, Nyna Loren fait partie de ces artistes qui transcendent les genres et font exploser les barrières avec un vent de fraîcheur qui fait du bien. »
Le petit Bulletin Saint Etienne, Nicolas Bron
« (…) Son premier album Pôles Intérieurs est une invitation au voyage à la résonance mystique et intemporelle. » La Fnac
Nyna est née en Bretagne à Rennes d’une mère française et d’un père espagnol et a grandi entre les côtes sauvages de l’océan atlantique et les terres arides aragonaises. Elle a choisit Genève, ville multi- culturelle pour y effectuer ses études supérieurs musicales en tant que violoniste et a pu jouer avec des artistes tels que Georges Benson, Gilberto Gil, Woodkid, Hubert Felix Thiéfaine, John Cale, M, Ibrahim Maalouf…
Elle porte aujourd’hui ses propres mots et sʼaccompagne sur scène dʼArno Jouffroy, guitariste et contrebassiste Lyonnais croisé sur les routes ainsi que de Marie Celine Jules, violoncelliste. Elle a sorti son premier album « Pôles Intérieurs » en septembre 2020, un album trilingue,
une transhumance poétique teintée d’accents hispaniques qui retrace le chemin du retour à soi, à sa propre force. On y voyage d’est en ouest, de nord en sud, de plaines en océans, de volcans en ouragans, pour se retrouver déposé à la fin, au centre de son être.
Son prochain album F.E.M.M.E.S., qu’elle a entièrement écrit, composé et arrangé, est une ode à la féminité, sa sensibilité, sa force, ses luttes, un appel à la sororité, à l’éveil des consciences sans en écarter les hommes. Les arrangements de cordes, les couleurs hispanisantes, parfois orientales, mêlées à des rythmiques modernes lui confère une esthétique originale et intemporelle capable de toucher les coeurs. Il sortira le 26 mai 2023.
F.E.M.M.E.S
F.E.M.M.E.S est à la fois un murmure et un cri, une urgence douce que l’on chuchote à l’âme pour faire hurler le coeur. Il y a ici un mélange de profondeur et d’éther, de magie
blanche et noire, une ambivalence assumée.
Les voix harmonisées et mystérieuses se mêlent au lyrisme
des cordes, à la modernité des samples et au tribal des tambours chamaniques. Parfois une guitare aux accents espagnols et même texan s’en mêle.
Cet album est résolument autobiographique mais assurément universel.