MAXIME DELLA COLETTA
Maxime Della Coletta
Pour Maxime Della Coletta, tout commence dans les pentes de la Croix-Rousse, à Lyon.
La faute à Brassens, Renaud et Anne Sylvestre qui l’ont poussé à écrire des chansons. Francis Cabrel, John Mayer ou encore Mark Knopfler ont propagé le virus de la guitare dans ses mains. Les Cowboys Fringants et Springsteen lui ont donné envie de partager le résultat sur scène.
Ses textes nets et imagés mélangent tendresse et espièglerie. Ils se fraient un chemin au plus profond de notre oreille grâce à des mélodies percutantes et variées bien servies par des arrangements teintés de folk aux reflets parfois country et irlandais.
En chemin, Maxime effectue les premières parties d’artistes tels que Gauvain Sers, Coeur de Pirate, Alexis HK, Benoit Dorémus, Bastien Lanza, Gérard Morel, Yves Jamait, Sarclo, Leonid, Idiots Utiles…
Sur la route il fait des rencontres. L’une d’entre elles lui permet aujourd’hui de présenter ses chansons sur scène, en duo, un banjo ou un accordéon tenant compagnie à sa guitare.
Quand l’occasion se présente, il se produit également accompagné de ses deux sœurs, Mathilde et Marina, qui apportent des nuances et du corps à ses ritournelles grâce à leurs harmonies fraternelles.
Un premier album en avril 2025 !
Après un premier EP sorti en 2019, Maxime remet le couvert en 2025, un cran au-dessus. Le répertoire s’est étoffé, l’écriture s’est précisée ; l’identité artistique s’affirme.
Coïncidence ou malice, Maxime a grandi entouré d’albums. Ceux de Le Forestier, de Renaud mais surtout de Franquin, de Hergé ou de Tarquin.
En effet, si elles furent très vite musicales, ses premières amours ont été graphiques. La discothèque familiale était fournie mais que dire de la bibliothèque ? Sur ses nombreuses étagères, celles des Bandes Dessinées avaient sa préférence.
Ce n’est pas pour rien si pour chacune des 11 chansons qui constituent ce premier opus, il s’est appliqué à créer des images faites de mots, des personnages bien ancrés dans des décors hauts en couleurs.
Des rythmiques enjouées en toile de fond, quelques guitares au premier plan, un trait d’accordéon ici et une nuance de violon là. Quelques touches de flutes ou de mandoline pour finir donnent vie à des histoires qui démarrent juste là, à portée de crayon.