Le Mans Pop Festival 2021

Jikaëlle

Jikaëlle

Jikaëlle aime les mots simples et les mélodies aériennes. Elle écrit, compose et chante. Sans faux-semblant, elle joue de ses fragilités pour en faire une force et nous dire des sentiments profonds, mais dans la légèreté, sans prétention ni prise de tête inutile. Adolescente, à Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, elle suit des cours de danse et de guitare. Son bac en poche, elle passe par une école de théâtre. Mais la musique reste en filigrane : elle se forge une culture qui va puiser dans la chanson française comme dans le folk-rock anglo-saxon. Envie de s’exprimer, envie de faire, ne manque plus qu’un déclencheur. Le déclic, c’est une rencontre fortuite avec le musicien Bernard Léchot, à Paris, fin 2011. Malgré la distance qui sépare leurs domiciles respectifs (il vit en Suisse), malgré la jeunesse de Jikaëlle et les cheveux gris du musicien, la complicité est immédiate.

Albums et EP

Leur entente se matérialise au fil des productions musicales, mais aussi des concerts qu’ils donnent en France, en Suisse, occasionnellement en Allemagne. Trois albums autoproduits naissent de leur collaboration : Evasions (2014), Evidences (2017), Entre ici et ailleurs (2020). En 2023, au vu de l’évolution du marché musical, Jikaëlle change d’approche. Après trois albums physiques, elle choisit le format plus souple des EP en version exclusivement digitale. Au printemps, elle publie Fragile , oscillant entre country, folk et blues rock, avec la complicité musicale de Bernard Léchot et du chanteur suisse Morgoran, Quelques mois plus tard arrive Sur un fil, imprégné celui-ci des instrumentations d’Erwan Mouly, multi-instrumentiste passionné de musique celtique.

Concerts

La scène est le cadre idéal pour rencontrer la jeune chanteuse, son chapeau, ses nombreuses chemises à carreaux, et son sourire : elle y rayonne, et sait embarquer son public dans sa bulle personnelle, quelle que soit la formule adoptée, solo, duo ou trio, En effet, dans une ambiance chanson-folk, elle joue parfois seule avec sa guitare, parfois avec Bernard Léchot ou Morgoran. Et dans des couleurs plus celtiques avec Erwan Mouly. Point commun de ces différentes propositions : une ambiance résolument acoustique.

A noter qu’en 2017, Jikaëlle a décroché le « Prix du meilleur espoir » du Grand Prix de la chanson

« Pierre Delanoë / Claude Lemesle ». Parmi les membres du jury, Pierre-Denis Leroyer (fils de Pierre Delanoë) et Claude Lemesle lui-même.

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