Hector ou rien

La naissance d’Hector ou rien
Commençons par là : en 2018, à Genève, Nicolas Vivier (qui joue alors dans le groupe Kaceo) créé Hector ou rien, tout seul, pour laisser s’échapper un trop-plein de chansons. Encouragé par ses amis Les Fils du Facteur, son personnage à peine nommé se trouve à faire leur première partie à Lausanne. La machine est lancée.
En 2019 tout s’accélère, les concerts s’étalent entre la Suisse, la France et le Canada. Hector ou rien gagne la médaille de bronze à Saignelégier, puis le Prix Marc Chouinard qui l’emmène représenter les couleurs hévétiques en Acadie.
Alors en pleine ascension, pour une étrange raison (saurez-vous deviner laquelle), la grande majorité de la tournée 2020-2021 s’annule. Mais en 2021 : alors que les annulations commencent à se calmer, il gagne le prix du public Magyd Cherfi au festival Pause Guitare et fait la rencontre de son futur tourneur, l’équipe de Limouzart.
Le contexte le permet désormais, l’année 2022 signe donc un nouvel élan du projet ! L’arrivée de nouveaux titres (comme Le coeur dans les manches), de nouvelles dates (une jolie première partie de Debout sur le Zinc par exemple) et la préparation d’une tournée et d’un album pour l’année suivante. Parmi ses 120 premières dates de concert on trouve : L’Aria (Cornebarrieu), Festival Voix de Fête (Genève), Musicalarue sur un plateau (Luxey), Opéra de Limoges, Pan Piper (Paris), Les Docks (Lausanne), Pause Guitare (Albi), Francofête (Canada), L’Inox (Bordeaux), Forum Léo Ferré (Ivry), Nebia Poche (Bienne), Centre Culturel Aberdeen (Canada), Festival Décibels Vendanges (Paris), Theater Stok (Zurich)
La personne derrière le projet Hector ou rien.
Avant, Nicolas Vivier était ingénieur.. Mais bouillonnant de projets culturels, il n’a pas pu s’empêcher de tout plaquer pour se consacrer à eux. Écriture, théâtre, musique, image, technique, il adore faire ce qu’il ne connaît pas encore et c’est comme ça qu’aujourd’hui il touche un peu à tout. D’abord, côté théâtre. Après quelques passages par l’Atelier Permanent de Recherche Théâtrale d’Emannuel Ostrovski à Compiègne (2007) et l’Atelier Cyparis de David Valère (2010-2011), il crée la Compagnie La Ruche à Genève en 2012. Avec cette équipe il monte ses premières pièces de théâtre en tant qu’auteur, metteur en scène et créateur lumière : « Mars-501 Le Retour » (2012), « Resestence! » (2013), « En toute sécurité » (2014). En 2015, « Resestence! » tourne en Suisse romande et en France. Durant le mois de Juillet 2016 elle est présentée au Festival Off d’Avignon. Il sera aussi créateur lumière pour la pièce « Puisque rien ne se perd » en 2016 et sur le “Journal d’un fou” mis en scène par Claudia Nuara en 2017. En 2020, il achève l’écriture de deux nouvelles pièces dont la création scénique se prépare. Puis, côté musique : il écrit des chansons. Un peu par hasard, ses brouillons ont 750’000 écoutes sur
la plateforme Jamendo. Un peu par hasard, il arrive à Genève en 2009 et c’est seulement là qu’il s’y consacre sérieusement. Il mène et chante depuis 2013 dans le groupe de chanson-rock Kaceo, avec lequel il sort trois disques et joue 130 concerts et magnifie la dernière place de la finale suisse de l’Eurovision. Sur d’autres projets on le retrouve musicien (Leo Walden), parolier et compositeur (Leïla Huissoud), coach scénique (Lizzie) ou encore réalisateur (Leïla Huissoud, Sèbe). Actif dans de nombreuses associations culturelles (ASMV, La Teuf, La Fabrik…), il est aussi depuis 2015 cofondateur et président de L’APROD, association de production culturelle genevoise qui organise chaque année le festival de musique acoustique « Débranché ». En 2018, il lance son projet solo « Hector ou rien”. Il rejoint en 2021 l’équipe d’organisation du festival Bars en fête.