Daphné Swân
Daphné Swân
Nouvelle pouce de la pop française, Daphné Swân sort son premier album EECLOO (prononcer < eklo >) le 10 novembre. Jamais loin des tempêtes actuelles, Daphné Swân revendique une pop consciente qui aborde des sujets de fond, en accord avec les valeurs du serment d’avocate qu’elle a prononcé dans une vie antérieure.
Originaire de Lille et maintenant installée à Roubaix, Daphné Swân commence à apprendre la musique par le piano et le violon au conservatoire. Elle grandit en écoutant une variété de genres allant de la musique classique au rock progressif, du rock industriel au trip-hop et à la musique contemporaine.
Adolescente, c’est dans le but de devenir romancière, animée par les récits fantastiques et de science-fiction, qu’elle commence l’écriture. Pendant ses années d’études de droit, elle allie amour des mots et de la musique en commençant à écrire ses propres chansons et à les interpréter dans les scènes ouvertes de l’agglomération lilloise. Puis vient le déclic de faire de la musique son métier, d’abord lors d’un séjour initiatique au Vietnam de plusieurs mois, puis pendant son exercice en tant qu’avocate peu après les attentats du Bataclan. Après un premier EP acoustique écrit et composé entre la France et le Vietnam, Daphné Swân évolue dans son parcours d’artiste au gré des rencontres et des résidences de création, du Nord de la France jusqu’au Québec où elle découvre la scène canadienne francophone, qui la séduit par sa liberté musicale et son attachement à la francophonie. résulte l’album EECLOO, réalisé par Daran, une alt pop francophone sensible et insolente avec des textes profonds ponctuée de sonorités électroniques piano et le violon, instruments de prédilection de Daphné Swân, y ont toute leur place. Un travail de claviers et de construction de section rythmique complète l’ensemble. « eecloo » est à la fois un mot tiré d’un patronyme familial de l’artiste, en hommage à ses racines franco-flamandes et une référence à l’éclosion, celle de son nouveau style à mi-chemin entre la versatilité de Trent Reznor et l’impertinence de Yelle.