Cécile A

Du Punk à la Soul en passant par le Jazz et le Gospel, il n’y a qu’un pas.

Cecile A, alias Cecile Andrault, l’a franchi sans complexe.

A 13 ans, elle casse des micros sur scène avec les groupes Punk de sa ville de province, Lorient.

A 15 ans, elle claque les portes du conservatoire et de son cours de chant lyrique.

A 20 ans, par une soirée d’été, elle entend pour la première fois Lullaby of Birdland, célèbre standard de Jazz, dans la demeure familiale de Philippe Delacroix Herpin, alors saxophoniste de JJ Goldman. C’est la voix de son épouse, Monika Limba, chanteuse réunionnaise, qui résonne dans la bâtisse. Elle l’accompagnera en tant que choriste, assurant les 1ère parties en métropole de Danyel Waro. C’est aussi durant cette période qu’on la retrouve sur scène sur un répertoire Jazz.

A la mort de sa grand-mère, très croyante, elle replonge dans ce qu’elle a renié en bloc jusqu’ici : sa spiritualité. Elle pose alors ses valises dans sa ville natale et y crée en 2018 le chœur Gospel « Sounds of Freedom » dont elle est à ce jour cheffe de chœur et avec qui elle se produit sur scène en églises, centres culturels ou festivals.

Après plusieurs rencontres musicales fondatrices, dont Murray Richard (The Platters), la chanteuse américaine Demi Evans, le chef de chœur Gospel Max Zita (Paris) ou encore le Soweto Gospel Choir (Afrique du sud), elle compose durant la période du covid son premier album solo, Hope, à paraitre en mars 2024. Elle y mêle Gospel, Soul, pop.