Babiol

Babiol

Sur les cordes sensibles de sa voix et de sa guitare, Babiol touche au rire et aux larmes, jouant avec les mots et toutes les gammes de l’émotion. Ses chansons sont pleines d’histoires et de poésie, comme les babioles, ces petites bricoles pas essentielles, mais qui savent vous attacher un bout de coeur.

Maëlle commence sa carrière en chantant dans les champs pour des troupeaux de vaches. Ce public lui donne le goût du spectacle mais ne l’applaudit pas comme elle le voudrait. Elle part donc se frotter à celui de Paris, écumant ses bars, ses théâtres, et toutes sortes de lieux plus ou moins dédiées à la scène. Sa longue pile de compositions prend des allures de tour de Pise et finit par lui tomber dessus. Elle s’adresse alors à Benjamin N’Kaoua, arrangeur MAO-iste et multi-instrumentiste, pour concrétiser un premier album, »La vie en flou« . Ils s’accordent si bien que ce dernier se propose de l’accompagner sur scène, Hugo Vellenne au piano et Quentin Gaimard à la contrebasse étoffant bientôt cette jolie harmonie. Dans le même temps, elle s’improvise « façonneuse de l’étrange » et fouille tous les greniers qu’elle croise pour transformer leurs contenus en bricoles qui agrémentent ses spectacles musicaux, s’autoproclamant « Babiol« . Finaliste 2024 du tremplin Festiv’ en marche, la chanteuse et son groupe « Babiol et les barbus » sont lancés, en avant la musique !